A mille lieues des méthodes traditionnelles et académiques, The Rich Morning Show est un programme éducatif d’apprentissage de l’anglais, basé sur une série de dessins animés qui enchantera les enfants dès l’école primaire.
« Télématin » version outre-Atlantique, The Rich Morning Show est une émission matinale, inspirée des talk-shows à l’américaine. A la place de William Leymergie, une autruche prénommée Rich reçoit chaque jour des invités. Au programme : chansons, jeux, recettes de cuisine… le tout orchestré par une multitude d’animaux déjantés, constituant un cocktail plein de dynamisme et d’humour.
Adrien Soullier, Directeur des opérations, et Andrew Arnon, Responsable du contenu pédagogique, nous disent tout sur ce programme dans un entretien exclusif avec MAFAMILLEZEN.COM.
Comment est né The Rich Morning Show ?
Adrien Soullier : Ce sont les utilisateurs de GymGlish (www.gymglish.fr), notre site destiné aux adultes possédant déjà un bon niveau d’anglais, qui nous ont soumis l’idée. De nombreux parents qui suivaient les aventures de la Delavigne Corporation, un dessin animé dont l’intrigue se déroule dans une entreprise de parfums à San Francisco, nous réclamaient un programme similaire à l’attention des enfants. Nous avons donc retroussé nos manches et planché sur le projet pour créer The Rich Morning Show, dont nous avons célébré le troisième anniversaire au mois de novembre dernier.
A quelle tranche d’âge s’adresse ce dessin-animé ?
Adrien Soullier : Nous le recommandons aux enfants à partir de 10 ans, car ils doivent maîtriser correctement la lecture et l’écriture. Même si nous ne dressons pas de limite d’âge, les adolescents qui atteignent une quinzaine d’années ont davantage de mal à adhérer au programme, car il s’agit de dessins animés mettant en scène des animaux. Malgré tout, nous comptons également de nombreux adultes parmi nos abonnés, qui avouent rire aux éclats en suivant les aventures de Rich et de ses congénères !
En quoi consiste votre valeur ajoutée, par rapport aux autres méthodes présentes sur le marché ?
Adrien Soullier : Toutes les études montrent que le taux d’abandon des utilisateurs de programmes éducatifs s’élève à 80 %, à partir de seulement deux mois de formation, ce qui est énorme. Pour pallier à cet écueil, nous avons misé sur la simplicité, en adoptant la démarche d’aller, nous-mêmes, directement, au devant de nos abonnés. C’est pour cette raison que nous leur envoyons un e-mail. Il leur suffit ensuite de cliquer pour visionner leur dessin-animé, puis de répondre au questionnaire. Par ailleurs, comme les enfants et les adolescents disposent d’une faible capacité de concentration et d’un emploi du temps chargé, entre les devoirs et les activités extrascolaires, chaque dessin-animé ne dure pas plus d’1 minute 30 à 2 minutes. Au total, avec le questionnaire et les corrections qui suivent, l’abonné reste connecté environ un quart d’heure à son écran. En outre, il peut découvrir à n’importe quel moment de la journée son dessin animé quotidien.
Concrètement, comment se déroule une séance avec The Rich Morning Show ?
Andrew Arnon : Selon un nombre de jours par semaine configurés par l’enfant sous le contrôle de ses parents, celui-ci reçoit un e-mail, qui lui permet d’accéder au dessin animé du jour, puis de répondre à un petit questionnaire. Quelques minutes plus tard, un corrigé personnalisé lui est envoyé, agrémenté de commentaires concis sur les points pour lesquels il rencontre des difficultés. Mais pas question de lui asséner des règles de grammaire et de conjugaison, ni de lui transmettre des listes de vocabulaire à apprendre par cœur ! Nous mettons un point d’honneur à rester simples, brefs, ludiques de manière à motiver l’enfant et lui permettre d’apprendre ou de progresser en s’amusant.
Il s’agit donc d’un programme éducatif personnalisé…
Andrew Arnon : Tout à fait. Notre système d’intelligence artificielle, conçu par Antoine Brenner, co-fondateur et co-directeur de la société, permet de détecter les lacunes et les points forts propres à chaque enfant et adolescent et donc de s’adapter à son niveau, à son rythme d’apprentissage, à sa capacité de mémorisation. De même, lorsque nous lui envoyons un e-mail et que celui-ci demeure sans réponse, nous le relançons en le rassurant et tenons compte, dans les exercices proposés, des quelques jours qui se sont écoulés.
Par ailleurs, et il s’agit là d’un point très important, nous ne considérons jamais les acquis comme définitifs. On le sait- et c’est d’autant plus vrai pour la pratique des langues- la mémoire humaine a tendance à oublier ce qu’elle a appris. De manière à pérenniser les acquis, notre logiciel intelligent revient donc, à intervalles de temps précis et réguliers, sur ce que l’enfant sait déjà.
Pour des résultats vraiment efficaces, quelle fréquence et quelle durée de formation préconisez-vous ?
Andrew Arnon : Idéalement, cinq séances hebdomadaires seraient nécessaires. Néanmoins, la plupart des enfants et des adolescents inscrits pratiquent deux à trois fois par semaine, ce qui constitue un excellent rythme. L’important : demeurer assidu et régulier sur le long terme. Concernant le temps de formation, nous recommandons des abonnements de 6 mois. A raison de deux ou trois leçons par semaines, les résultats sur cette durée se révèlent particulièrement efficaces.
Vous proposez également un work-book. De quoi s’agit-il ?
Andrew Arnon : C’est un cahier de cours en ligne, qui rassemble tous les dessins-animés déjà vus ainsi que les éléments de grammaire, de conjugaison et de vocabulaire abordés antérieurement. L’enfant peut ainsi revoir quand il le souhaite et autant de fois qu’il le souhaite tous les shows qu’il a visionnés et réviser à sa guise tout ce qu’il a appris. En outre, il a accès au forum Gymglish, sur lequel il peut échanger -de préférence, en anglais- sur The Rich Morning Show ou sur tout autre thème, avec l’ensemble des abonnés.
Une pédagogie en quatre étapes :
• 1ère étape : 21 leçons personnalisées, avec des dessins-animés en vitesse lente et avec sous-titres
• 2ème étape : 21 leçons personnalisées, avec les mêmes dessins-animés en vitesse normale, toujours avec sous-titres
• 3ème étape : 21 leçons personnalisées, avec les mêmes dessins-animés en vitesse normale, mais cette fois sans sous-titre
• 4ème étape : Consolidation des acquis et révisions de tous les éléments abordés au cours des trois premières étapes
Les tarifs :
• 3 mois : jusqu’à 60 leçons : 39 euros/mois
• 6 mois : jusqu’à 120 leçons : 24 euros/mois
•9 mois : jusqu’à 180 leçons : 19 euros/mois
• 12 mois : jusqu’à 240 leçons : 15 euros/mois
Bon à savoir :
-Des Packs Familles Nombreuses vous sont également proposés : pour deux inscriptions simultanées payées par la même personne, la troisième inscription est offerte.
-Vous pouvez tester gratuitement et sans engagement les deux premières leçons, en remplissant le formulaire disponible sur le site.
Témoignages de parents :
•Soleen Kandoussi, maman de Golan, 11 ans, Jacob, 8 ans, Sarah et Shimon, 3 ans (Pantin-93) : « Je m’amuse comme une petite folle ! »
« Nos enfants étant inscrits dans une école hébraïque, l’anglais leur est enseigné dès la maternelle, mais uniquement deux heures par semaine. Comme nous projetons à plus ou moins long terme de partir vivre en Israël, je tenais à ce que les enfants pratiquent un maximum l’anglais, car là-bas, tout le monde, surtout les jeunes, le parlent couramment. Grâce à trois séances par semaine depuis près de deux ans, mon fils aîné, qui rencontrait des difficultés, s’exprime désormais parfaitement. Aujourd’hui, c’est son frère Jacob qui a pris le relais. Si la méthode les a de suite séduit, j’avoue que c’est moi qui suis la plus conquise. Lorsque les enfants dorment, je visionne le dessin-animé du jour et je ris comme une folle ! Les personnages et les situations sont vraiment très drôles ! J’avoue que j’aurais du mal à m’en passer. C’est ma petite distraction de la journée ! »
•Emmanuel Dumoulin, papa de Robin, 13 ans et Julien, 10 ans (Liège-Belgique) : « Après avoir totalement adhéré, Robin s’est mis à décrocher »
« Robin est actuellement en 5ème. Même s’il a la moyenne en anglais, il rencontre quelques difficultés, particulièrement en grammaire. Pour l’aider à combler ses lacunes, je lui ai proposé de l’abonner à The Rich Morning Show, ayant souscrit moi-même au programme GymGlish, dont je suis totalement satisfait. Robin a de suite accroché. Durant les cinq premier mois, il s’est montré extrêmement assidu et régulier, puisqu’il pratiquait six séances par semaine. Le dessin-animé l’a réellement passionné. Il était impatient de découvrir la suite des aventures de Rich et de ses congénères. Mais le passage à la deuxième étape du programme (voir ci-dessus) l’a énormément déçu. Il s’est très vite lassé de devoir visionner de nouveau les mêmes dessins-animés. C’est dommage, car même si ses notes n’ont pas augmenté et qu’il n’a pas progressé en grammaire, je sens qu’il a acquis une certaine aisance pour s’exprimer et que son vocabulaire s’est enrichi. J’ai proposé d’abonner mon second fils. Lui qui est en CM2 possède quelques notions d’anglais. Mais après avoir testé gratuitement les deux premières leçons, il a préféré décliner mon offre : le dessins-animé l’amusait, mais il considérait le concept trop compliqué pour son niveau ».
•Régis B., papa de Malo, 9 ans (Issy-Les-Moulineaux-92) : « Notre fils considère cette méthode comme un jeu »
« Dès son entrée en CM1, Malo nous a fait part de son désir d’apprendre l’allemand plutôt que l’anglais. N’étant pas convaincus par son choix, nous lui avons proposé de l’abonner à The Rich Morning Show, de manière à ce qu’il acquière quelques notions d’anglais. Comme mon épouse et moi avions déjà souscrit depuis plusieurs mois au programme GymGlish, dont nous sommes parfaitement satisfaits, notre fils n’a pas considéré notre offre comme une punition, mais au contraire comme un honneur d’adhérer à une méthode éducative similaire à celle de ses parents. Nous avons testé gratuitement les deux premières leçons : Malo a été immédiatement séduit. Depuis, il prend plaisir, de lui-même, à effectuer trois séances par semaine. Il considère réellement cette formation comme un jeu. En outre, il a particulièrement apprécié d’accéder à la seconde étape (voir ci-dessus) et de revoir les mêmes dessins-animés, toujours avec des sous-titres, mais en vitesse normale. Alors qu’il ne possédait pas la moindre notion d’anglais, il a acquis, en moins de six mois, un vocabulaire relativement riche. Je suis persuadé que cette méthode lui a donné le goût pour la langue de Shakespeare »
Pour en savoir + :www.richmorning.fr
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