Pur mélo à l’américaine, Mes Vies de chien est raconté par la voix d’un chien. Le film enchantera certains spectateurs quand d’autres pourront le trouver un brin caricatural. A découvrir au cinéma à partir du 12 avril.
Mes vies de chien : l’histoire
On dit souvent des chats qu’ils ont sept vies. Dans Mes vies de chien, ce sont pourtant les réincarnations successives d’un chien que l’on suit.
Bailey n’est qu’un tout petit bébé golden retriever, en 1962, lorsqu’il est adopté par Ethan, un garçon de huit ans. Entre eux deux, le coup de foudre est immédiat et nos deux complices vont devenir inséparables. Jusqu’à ce qu’Ethan intègre la fac, Bailey va être perpétuellement aux côtés de son maître pour partager les bons mais aussi les moins bons moments.
Après le départ d’Ethan pour l’université agricole, Bailey va tout doucement se laisser mourir, gagné par la vieillesse et la tristesse. Mais l’histoire ne se termine pas ici. Pendant plusieurs décennies, Bailey va en effet « renaître » sous la forme de plusieurs autres canidés: il sera berger allemand, bâtard, labrador, chien d’intérieur, chien policier, chien délaissé… Il s’appelera successivement Ellie, Buckie… Bailey va se découvrir, existence après existence, un but : retrouver son maître Ethan coûte que coûte…
A partir de quel âge ?
Dès 4-5 ans. Les tout-petits devraient notamment être captivés par le défilé de ces Bailey qui changent de peau et de poils comme de chemise !
L’avis de MAFAMILLEZEN
Faut-il aimer un peu, beaucoup à la folie ou pas du tout Mes vies de chien ? Difficile de répondre ! Cet opus, dans lequel le chien joue les narrateurs et parle à la première personne, est une belle peinture des relations fusionnelles que certains d’entre nous entretiennent avec leurs compagnons à quatre pattes. Et s’il nous offre aussi de jolies émotions, on ne ressort pourtant pas de la salle complètement convaincu.
Les bons sentiments du film sont un peu trop marqués. Et son scénario n’évite pas la répétition, sur le thème de l’humain désespéré et solitaire qui va regoûter à la joie grâce à son chien. On déplore aussi que certains avatars de Bailey, « alias le boss-dog » n’aient droit qu’à quelques minutes à peine à l’écran. Enfin, on regrette que les sujets de la maltraitance animale et de l’abandon, problèmes de société à part entière, ne fassent l’objet que d’une très courte séquence.
Réalisé par : Lasse Hallström
Avec : Dennis Quaid, Peggy Lipton et Britt Robertson
Genre : Famille, Comédie dramatique
Sortie au cinéma : le 19 avril 2017
Durée : 1h41
A partir de : 4 ans
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De bons sentiments ? Cela e fait pas de mal!
merci pour ce concours
Oh j’aimerai beaucoup le voir avec mes loulous qui adorent les animaux ! Il a l’air très captivant !